Le New York Times a publié un portrait peu flatteur des finalistes de la Ligue des champions Inter Milan comme «une sorte de club rafistolé et truqué par un jury qui tient ensemble par un peu plus que des bandages et de l'espoir».

Simone Inzaghi a pleinement mérité samedi sa place au stade Atatürk d'Istanbul, où il disputera à Manchester City le trophée le plus prestigieux du football interclubs.

Cependant, le profil du journal américain souligne le fait qu'ils ont "l'équipe la plus ancienne et les dettes les plus élevées" du football italien, avec des joueurs comme AC Milan Skriniar et Henrikh Mkhitaryan peinent à être en forme dans le temps.

Edin Dzeko devrait commencer en tête plutôt que Romelu Lukaku, peut-être un risque à 37 ans, tandis que Francesco Acerbi, 35 ans, marquera Erling Haaland.

Surtout, le NYT entre dans les turbulences financières bien connues en coulisses, où Suning a dû contracter un prêt auprès d'Oaktree Capital qui arrivera à échéance en mai 2024.

Y compris le taux d'intérêt élevé, la somme totale due est d'environ 350 millions d'euros.

L'Inter dans son ensemble aborde la finale de la Ligue des champions "battue et meurtrie, scotchée et attachée, vieillissante et décolorée".

Manchester City a été accusé de plus de 100 infractions au fair-play financier par la Premier League.

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